Däzell - Chasseur - meute du Sud [ finis ]

Je suis né au sein d'une petite - minuscule meute. La mienne. Constituée d'une femelle et d'un mâle qui dirigeaient, deux femelles qui chassaient et protégeaient notre meute. La femelle, ainsi que le mâle se trouvait être mes parents, la femelle une louve grise, le mâle, un loup noir tel la nuit sans étoiles. Ils étaient pour moi, mes étoiles, mes protecteurs, mes mentors, brefs des êtres parfaits. Je ne regrettes rien de leur part. Même, si parfois, il faut l'avouer leur éducation n'était pas évidente. Je me souveins très bien, la douleur que me procurait les machoires terrifiante de mon père. Les deux femelles, une était blanche l'autre griseâtre, ne m'avait jamais portée attention, si peut-être le jour ou je suis né, quand j'ai fais mes premiers pas. Quelques vagues souvenirs, mais très bref - rapide.

Je suis le seul survivant d'une portée de neuf. Ce nombre est impressionnant, et je me demande encore comment ma mère avait put nous donner la vie, enfin à moi surtout à toutes cette ribambelles. Cinq son mort lors de la mise bas, les trois autres tué par un ours. Sur ce coup là, j'avais été vraiment chanceux, j'ignore pourquoi, et comment j'ai survécu, mais j'en étais bien content. Je n'avais jamais eu de pitié, même aucunes larmes pour mes frères et soeurs, pourquoi ? Tout simplement, je ne les avaient jamais rencontrés - vu, donc je ne pouvais me faire une idéee d'eux. Tout c'est passé pendant la nuit, ma mère m'avais raconté, que nous étions tous installés dans notre tanière, et puis on ne sait pourquoi, un tas de muscles a debarqué et paf. Le drame. Les attaques successives de mon père, accompagné de ma mère, ne l'ont pas arrété. Et voilà, je me retrouvais seul, surment au fond de la tannière, tout recrocvillé. Depuis ce jour, mes parents n'ont pas eu le choix, quitté ces lieux maudit. Nous nous sommes installés prèt d'une petite rivière. Et ces dans cet endroit que les deux louves nous ont rejoind. Elles venaient d'être abandonné par leurs meute. Je ne connaissais pas les raisons précises, et puis je ne cherchais pas à savoir la vérité. J'ai garndis, les autres ont viellis. Et puis, un beau matin, je me suis révéillé, et l'une des deux louve, avait disparut. Même si cette louve m'était comme inconnue, je suis allé à sa recherche, et depuis j'ère ici, sur ces terres. Biensûr maintennant je ne la cherche plus, cette maudite louve. Parfois je me demande si ce n'était pas une ruse, pour me faire fuir. Car j'allais hérité de la place de mon père, qui lui était connu dans les environs. Les deux louves voulaient certainement cette place, désormais elles ont dû l'avoir. Ma famille ne me manque pas, et puis maintennant je suis ma route, mon chemin.